De son translucidité opaque
« Je suis une créature nocturne, »
J’adorais répéter à toutes les femmes;
L’ appât idéal
J’étais l’être mystérieux;
l’énigme qu’elles devaient déchiffrer
J’avais une femme au lit
toutes fois
que j’étend le mystère
drôle et ironique a en penser
Je ne me prenais même pas pour un Don Juan ou un Casanova
je me cachais dans la promiscuité
dans les bras minces d’une femme fragile;
la sueur el la fragrance de l’acte
de l’amour;
Chaque fois mes compagnonnes de nuits
prenaient avec elles ma nuit et la leur;
aussi Je me perdais dans la foule
une énigme entre des milliers
je flottais sur le vacarme
pour noyer le mien;
J’aimais la mer
ses nuances du cieux brisées
en sa largesse
le mariage du ciel et la profondeur rocheuse
m’enchantaient
chaque fois que je faisais l’amour
je me prenais pour une vague
qui cherchait a se briser sur le sable
pour devenir aussi insignifiant que ses cristaux
Je n’ais jamais été un fanatique de l’alchimie
contrairement au chanteur, je ne t’ai jamais
promise des perles de mon âme sablonneuse
ou des saphirs, émeraudes ou jades
que j’aurais eue extorqué du roi et reine
des âmes du peuple desséché par l’attente
d’une pluie lavande
et avec qui j’aurais entré en trance sur seine
Alors ; ne m’ en veux pas ma chère
Laisses moi m’ en aller ; laisses moi partir
La délivrance on l appelle
Ici je suis finalement devenu superstitieux
Un fantôme superstitieux
Un fantôme spirituel
Remarque je n ais pas dit religieux
Je lance mon regard dans l’espace bleuâtre
je ne vois même pas mon hombre
et je projette une réflexion de toi dans
des moment comme ceux-ci
une femme seule
enveloppée dans son deuil
un nuage de souvenirs sombres
un nuage de solitude sombre
et
je
me
pleux
une translucidité
opaque
une pluie qui me rappelle de toi
une part de ton opacité translucide
ma compagnonne énigmatique
une réflexion énigmatique
Jaque Cendres
An extract of a saga written by the imaginary Jacque Cendres from beyond.
Of his opaque translucence ( Tr. by J.O)
« I am a nocturnal being,”
I adored repeating to all the women I met
The ideal bait;
I was the mysterious being;
the enigma they have to decipher;
I took a woman to bed
each time I extend the mystery;
funny and ironic, to think of it
I did not even take myself for a Don Juan or Casanova
I hid myself in my promiscuity
and the fragile arms of a woman;
the sweat and the fragrance of the love-making;
each time my night companions took their night and mine with them
also, I liked getting lost in the crowd;
an enigma among thousands
I floated above the noise
So I could sink my own din
I liked the sea
I liked the skies’ broken nuances in its largess
The sky’s marriage to the stony depth enchanted me;
Each time I made love,
I took myself for a wave
That lingered to be broken on the sand
To become as insignificant as its crystal grains
I had never been a fanatic of the alchemy ;
Contrary to the singer, I never promised you pearls of my sandy soul
Sapphires, emeralds or jade
I’d have extorted from kings or queens;
People’s dehydrated souls of the wait for imbuing rains
with which I’d have entered in trance on the seine;
So, don’t hold it against me dear,
Let me go;
Let me leave;
It is called deliverance ;
Here I have finally become superstitious;
A superstitious phantom;
A spiritual phantom;
Notice, I have not said religious;
I throw an investigating look in the bluish space
All I see is my shadow
As usual I project your reflection in moments like these
Very similar moments:
A woman engulfed in grief
a cloud of somber memories;
a cloud of somber solitude
and
I
Rain
Translucid
Opaque
rain
A rain that reminds me of you;
A little bit of opaque translucency;
An enigmatic companion
An enigmatic reflection